Article écrit Jeudi 7 Janvier
« Wind of change »
Assise dans le train prête à rejoindre mes camarades de promotion de l’Institut de sexologie, cette musique des Scorpions se met en route et soudain ma concentration s’accentue. attentivement.
Ce sifflement au début comme pour capter mon attention, me défaire de mes pensées.
Cette nouvelle année est bien l’ère (l’air?) d’un nouveau changement.
J’embrasse 2021 avec la volonté de valider mon diplôme universitaire, de rédiger mon essai qui deviendra la base pour moi mémoire de fin d’études, et qui sait, un livre.
J’ai démarré cette semaine l’ouvrage « Jouir: En quête de l’orgasme féminin » de Sarah BARMAK préfacé par Maia Mazaurette.
Voici la quatrième de couverture :
« Libérée, la sexualité des femmes d’aujourd’hui ? On serait tenté de croire que oui. Pourtant, plus de 50 % d’entre elles se disent insatisfaites, que ce soit à cause d’un manque de désir ou de difficultés à atteindre l’orgasme. Si tant de femmes ordinaires sont concernées, peut-être qu’elles n’ont rien d’anormal et que ce n’est pas à la pharmacie qu’il faut aller chercher la solution. Le remède dont elles ont besoin est plus certainement culturel, et passe par une réorientation de notre approche androcentrée du sexe et du plaisir.
Tour à tour reportage, essai et recueil de réflexions à la première personne, cet ouvrage enquête sur les dernières découvertes scientifiques ayant trait à l’orgasme féminin. On y apprend ainsi qu’une chercheuse en psychologie clinique a recours à la méditation de pleine conscience pour traiter les troubles à caractère sexuel. On y découvre aussi diverses façons dont les femmes choisissent de redéfinir leur sexualité. Cette aventure aux confins de la jouissance nous emmène jusqu’au festival Burning Man, où l’orgasme féminin est donné à voir sur scène, ou encore dans le cabinet feutré d’une thérapeute qui propose de soigner les traumatismes liés au viol à l’aide de massages sensuels. «
La suite au prochain épisode 😉